Catégories : LGBT Travesti Gay Lesbienne Trans Sissy Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 7 ans
Cravachée
L'intérieur du pavillon ressemblait plus à une tente ou à la réserve d'un brocanteur qu'à une véritable habitation. Il n'y avait aucune cloison solide. Des paravents et des tentures délimitaient symboliquement ici une chambre, là un salon, ailleurs un espace de travail. Partout une accumulation de meubles et d'objets hétéroclites.
Estelle suivit Lionardina vers une haute cathèdre sculptée, n lui suffit d'un signe pour s'allonger en travers d'un bras du fauteuil, la tête reposant dans ses bras croisés sur l'assise. Juste au moment où la rousse allumait une lampe, un éclair embrasa l'espace, comme par un effet magique.
- Écarte bien les jambes.
Estelle obéit, la joue posée sur l'avant-bras, admirant la silhouette dressée auprès d'elle, debout, presque figée. Le tonnerre explosa. Elle se sentait totalement vulnérable, offerte à l'orage aussi bien qu'à cette femme qui dévorait sa nudité blême d'un regard silencieux. Il y eut un éclair, puis un autre aussitôt, et les grondements assourdissants.
Au-dessus d'elles, la pluie battait si drue que les vitres vibraient.
Finalement, Estelle n'y tint plus.
- Lionardina... Vas-tu me fouetter ?
Ses jambes tendues frémissaient d'impatience.
- Rien ne presse... rien ne presse-
Elle s'approcha et posa une main brûlante sur les reins offerts. Estelle se cambra mieux, écarta davantage les cuisses. Elle sentit une ligne froide filer dans sa raie, tout contre l'anus.
-
Oh...
-
C'est la Mauricette, murmura Lionardina tout contre son oreille.
Parmi les collections de fouets et de cravaches rassemblées au château, certains portaient un nom ou une appellation. Souvent, il s'agissait de préciser l'effet cruel de l'instrument (la Repentance, le Punisseur) mais il y avait aussi des titres imagés (la Verge de Lumière) ou incompréhensibles (le Biscuit), ou encore des prénoms, de b o u r r e a u x autant que de victimes, évoquant des souvenirs qu'Estelle ignorait. Elle ne connaissait pas la Mauricette.
-
Es-tu certaine d'avoir envie d'être fouettée ?
-
Est-ce que ça va faire mal ?
-
Atrocement... Tu n'as rien à craindre.
-
Tu t'arrêteras si je t'en supplie ? Lionardina eut un gloussement rauque.
-
Bien sûr que non. Il sera donc inutile que tu me supplies...
Elle continua à faire glisser la cravache tout au long la raie, suivant lentement le périnée, depuis la base du sexe jusqu'au creux se perdant vers la plaine des reins. Estelle serra plusieurs fois les fesses pour tenter d'immobiliser l'objet un instant.
-
Jamais je n'ai eu autant envie d'être fouettée. Je ne sais pas ce que c'est... Quelque chose à l'intérieur de moi...
-
Tais-toi.
Lionardina se recula et glissa les mains sous sa longue robe bleue.
- Ouvre la bouche.
Elle ondula pour retirer sa culotte, la roula soigneusement et l'enfonça dans la bouche d'Estelle en veillant à ce que l'intérieur de l'entrejambes, tout imprégné de ses parfums intimes, se trouve bien placé contre sa langue. Puis elle reprit sa cravache et la fit à nouveau courir sur la croupe tendue, mais en travers cette fois. La peau nue se hérissa.
- Tu es déjà bien marquée... Ça va être un massacre...
Jouant de son instrument comme d'un archet, Lionardina suivit les traces que Vincent avaient dessinées quelques heures plutôt, sur les fesses, mais aussi sur les cuisses et les hanches.
Des perles de sueur commencèrent à sourdre sur le front d'Estelle. Sa respiration s'accéléra. Elle attendait, s'imprégnant de sa peur, les jambes secouées de frémissements nerveux.
- Ouvre mieux les cuisses.
Lionardina lui passa la main sur la vulve, moins pour la caresser que pour mesurer l'intensité humide du plaisir qui montait. Les narines dilatées, les lèvres palpitantes autour de la boule de soie parfumée, Estelle haletait, au bord des larmes.
Puis la rousse cingla.
Les jambes d'Estelle parurent s'envoler. Elle attendait le coup et pourtant, il l'avait surprise. Son bassin quitta le bras du fauteuil avec un décollement poisseux. Et elle retomba en vrombissant sous son bâillon.
Trois autres coups l'atteignirent immédiatement, toujours aussi forts mais disposés à quelques centimètres l'un de l'autre. Ses orteils patinèrent sur le plancher.
-
Tu as vraiment un cul fait pour le fouet... déclara la rousse en frappant encore.
-
Mmuummph... mmuummph...
Estelle bondit et rebondit malgré elle. Pour tenter de se maîtriser, elle releva les bras et crispa les mains sur les bords de l'assise. Au fil des coups, elle y pressa le front ou, au contraire, recula la tête en arrière dans une crispation terrible. D'autres fois, elle secoua frénétiquement la tête de droite et de gauche. Ses jambes battaient sans qu'elle puisse les contrôler.
Elle continuait à gigoter ainsi quand Lionardina lui introduisit dans le sexe le pommeau nickelé de sa cravache. La douleur de la flagellation lui enflammait encore la chair. L'embout pistonna un peu sa chatte ruisselante puis sortit et pénétra son anus avec la précision d'une flèche. Le va-et-vient reprit. Estelle était en sueur, du front aux chevilles.
Lionardina attendit qu'elle se calme un peu. Les coups suivants frappèrent alternativement ses fesses et ses cuisses. La jouissance guettait. Estelle s'ébroua, l'air sifflant aux narines.
Un formidable grondement de tonnerre secoua tout le pavillon. Lionardina lui asséna deux cinglées sur la base des fesses, dans la partie la plus charnue. Puis elle lui retira des lèvres sa culotte imprégnée de bave.
-
Tu en as assez ? demanda-t-elle doucement. C'était une provocation. Lionardina la tenait à sa merci.
-
Non!
Sa poitrine palpitait furieusement, ses épaules, son dos tressautaient.
- Non ! reprit-elle en pleurant. J'ai mal, j'ai si mal mais ça vient ! Continue, n'arrête pas maintenant ! N'arrête pas ! Fouette-moi plus fort encore !
Lionardina observa son visage, puis, pressant la culotte baveuse comme pour l'essorer, elle l'approcha de la bouche d'Estelle.
-
Non. S'il te plaît...,Je veux que tu m'entendes crier...
-
Comme tu voudras...
La rousse reprit sa position, leva le bras, cravacha avec énergie, comme on enfonce un clou. Elle ne cherchait plus à viser des endroits variés et se concentrait sur le renflement inférieur, mordant parfois un peu plus bas, à la pliure des cuisses.
Estelle cria, hurla, s a n g lota. Ses mollets frétillaient.
À bout de souffle, elle inspirait l'air bruyamment, comme un noyé reprend souffle hors de l'eau.
- Oh, c'est si bon, maîtresse !... C'est si bon... Ça fait tellement mal !
Lionardina continua à frapper. Désormais, elle était la servante du plaisir de son esclave. Elle cravachait au rythme des halètements de sa victime, et elle la flagellerait jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Enfin, la voix brisée, Estelle se tut. Elle ne pouvait plus crier, plus penser, plus respirer. Elle s'immobilisa jusqu'à s'alanguir, presque évanouie. La douleur renouvelée n'entraînait plus aucun réflexe. Elle était épuisée. Puis brusquement, elle lança un brame déchirant qui se transforma en un grognement mêlé de s a n g lots.
Lionardina laissa sa cravache et vint lui poser doucement la main sur le crâne.
- Calme... calme... Tout doux...
Sans cesser de la flatter, elle tendit l'autre main vers les fesses tendues et les effleura. La jeune fille ne bougea pas. Sa croupe était tellement douloureuse qu'elle sentait à peine la paume qui les parcourait.
Cette ressource n'a pas encore été commentée. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)